Assises des Deux-Sèvres : le gendarme a-t-il été fauché délibérément ?
Le 7 avril 2011, un jeune Vendéen donnait un coup de volant renversant un motard de la gendarmerie. Le gendarme est resté dans le coma plus de deux jours. Ce mercredi 16 octobre, à Niort, dans le cadre de la session d’assises des Deux-Sèvres, le président Delextrat a fait le portrait de celui qui nie toute volonté de blesser le motard.
Le parcours de l’accusé a été longuement évoqué ce mercredi 16 octobre par la cour d’assises des Deux-Sèvres. A l’adolescence, il est obligé de quitter le Portugal et de suivre ses parents qui migrent en France en 2006 pour des raisons économiques. La famille s’installe alors à Fontenay-le-Comte, en Vendée.
Joaquim Correia de Jesus a 22 ans aujourd’hui. Depuis le drame, il attend en prisonson procès qui a démarré ce matin.
Retour sur les faits
Le 7 avril 2011, il roule…Lire l’Article…
Source : www.lanouvellerepublique.fr
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Gendarme renversé à Clazay (79) : dix ans de réclusion criminelle requis à l’encontre du chauffeur
L’avocate générale vient de requérir la peine de dix années de réclusion criminelle à l’encontre de Joaquim Corréia de Jesus, ce jeune Vendéen soupçonné d’avoir volontairement renversé, au volant de sa Peugeot 405, un motard de la gendarmerie un soir d’avril 2011. C’était à Clazay. Natacha Rateau a jugé l’accusé « immature » et « inconscient », en plus de son ton qu’elle a considéré « péremptoire » face à la cour d’assises des Deux-Sèvres. Le procès, qui s’est ouvert hier matin au palais de justice de Niort, doit s’achever dans la soirée de ce jeudi, moment où est attendu le verdict.
Source : www.lanouvellerepublique.fr
Justice. Gendarme percuté : dix ans de prison pour un acte volontaire
Justice. Gendarme percuté : dix ans de prison pour un acte volontaire
jeudi 17 octobre, vers 21 h 30, à une peine de dix ans d’emprisonnement.
Joaquim, 22 ans, dont le procès s’est déroulé sur deux jours depuis mercredi, avait délibérément renversé un motard de la gendarmerie en avril 2011 à Clazay.
Présent au procès, le militaire conserve, deux ans et demi après les faits, de lourdes séquelles de l’accident.
Source : www.courrierdelouest.fr