Sud-Deux-Sèvres : la partie fine à trois dégénère, des gendarmes de Niort interviennent
Publié le 12/03/2023 à 12:28 | Mis à jour le 12/03/2023 à 16:43
© (Photo d’illustration archives, Jean-André Boutier)
L’histoire, c’est le groupement de gendarmerie des Deux-Sèvres qui a choisi de la raconter, dans la matinée du dimanche 12 mars 2023, sur sa page du réseau social Facebook : initié via un site internet de rencontres libertines, un rendez-vous avait été organisé entre un couple et un homme, la future victime dans ce dossier d’ores et déjà classé.
L’homme en question avait donné l’alerte dans la nuit du jeudi 9 au vendredi 10 mars 2023, affirmant avoir été agressé dans une commune du sud du département : les militaires niortais du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie, le Psig-Sabre autrement dit, le retrouveront alors sur la voie publique, « légèrement vêtu ».
Finalement, « n’en parlons plus »
Le trio s’était entendu pour une relation sexuelle, protégée, un véhicule pouvant en être le théâtre : sauf que le préservatif utilisé par le plaignant aurait craqué. Les forces de l’ordre racontent la suite : « Le conjoint voit rouge et assène un coup à la victime, qui prend alors ses jambes à son cou. » Il s’agirait d’un coup de poing, avec une bouteille de bière ou non, selon les différents témoignages.
Les trois protagonistes, concluent les gendarmes, ont tous été entendus. Et se sont finalement mis d’accord : « N’en parlons plus. » De fait, il n’y a eu aucun dépôt de plainte.
Gendarmerie des Deux-Sèvres
10 h · [LA MAUVAISE AFFAIRE]
Vendredi, sur une commune du sud du département, les gendarmes du PSIG de Niort sont engagés pour un homme qui vient d’être victime d’une agression durant la nuit. Ce dernier, retrouvé légèrement vêtu, relate aux militaires sa mauvaise fortune…L’homme explique avoir eu rendez-vous avec un couple rencontré plus tôt sur un site coquin. Une partie fine consentie à la condition d’utiliser un scaphandre de poche. L’affaire convenue, la triangulaire pouvait débuter. Malheureusement, un incident se produisit et sous la pression, le scaphandre rompit. Le conjoint voit rouge et assène un coup à la victime qui prend alors ses jambes à son cou…Les protagonistes entendus, l’histoire est rapidement conclue par cet épilogue unanimement voulu : « n’en parlons plus ».
