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Le - « Les victimes de violences conjugales arrivent souvent perdues chez nous »

«Les victimes de violences conjugales arrivent souvent perdues chez nous»

Loire. Elles sont deux « intervenantes sociales », l’une en police, l’autre en gendarmerie. Mises à disposition par le conseil général, elles entrent en scène dès que des faits de violence intrafamiliale sont constatés. Témoignages

Les victimes de violences conjugales arrivent souvent perdues chez nousLeur pire souvenir ? Claudie Gauriat n’en a pas. « On essaie d’oublier très vite, pour se protéger ». Stella May, elle, garde en mémoire cette femme qui a débarqué un vendredi au commissariat central du cours Fauriel.

« Elle n’avait qu’une grosse valise, et un bébé de 14 mois sous le bras ». Très isolée. Pas de famille dans la région. Et plus aucune solution. « Elle était terrorisée, n’osait même plus sortir du commissariat de peur de tomber sur les proches de son mari, qui la battait. Nous avons fait le nécessaire, elle s’est réinstallée dans le sud, sa région d’origine ».

Toutes les situations ne sont pas si extrêmes. N’empêche. Chaque fois que la police ou la gendarmerie de… Lire l’Article…

Source : le progres.fr www.leprogres.fr

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