Quand le GIGN envahit l’Assemblée
Des gendarmes d’élite dans l’hémicycle? Pas de panique, il ne s’agissait que d’un exercice de sécurité.
Ils sont arrivés en trombe dans l’hémicycle, lundi matin. Les gendarmes d’élite du GIGN ont fait irruption à l’Assemblée nationale… pour un simple exercice de sécurité.
Le président de l’Assemblée nationale Claude Bartolone (PS) a pris part à cette « simulation d’un incident majeur », a indiqué une porte-parole de la présidence.
Claude Bartolone a lui-même tweeté une photo de ces hommes du Groupe d’intervention de la gendarmerie nationale, casqués et armés, avançant en file indienne vers la salle des quatre colonnes.
Moment insolite, j’assiste à un exercice du #GIGN au sein de l’@AssembleeNat #DirectAnpic.twitter.com/wKnHoH08A5
— Claude Bartolone (@claudebartolone) 3 Février 2014
Prise d’otages à l’Assemblée : le GIGN est prêt
Le GIGN (Groupement d’Intervention de la Gendarmerie Nationale) est prêt à faire face aux menaces de prises d’otages à l’Assemblée nationale. Lors d’un exercice grandeur nature, au sein de l’hémicycle du palais Bourbon, une centaine de gendarmes se sont employés à donner l’assaut final et mettre fin aux exigences d’un groupuscule révolutionnaire armé.