VIDEO. 14-Juillet : un défilé international pour le centenaire de la première guerre mondiale
De l’Afrique du Sud à l’Algérie, en passant par la Russie et l’Ukraine, la quasi-totalité des pays ayant participé au conflit sur le sol européen ont répondu à l’invitation française.
(ARNAUD COMTE / FRANCE 2)Par Francetv info
Cette année, le défilé du 14-Juillet a été marqué par les commémorations du centenaire de la première guerre mondiale. Des représentants de près de 70 nations étaient présents. En début de cérémonies, un peloton de soldats français a défilé en tenue bleu horizon des « poilus » 1914-1918, et des chants d’époque interprétés par le chœur de l’armée française : La Madelon et Le chant du départ.
Présence d’une délégation algérienne
De l’Afrique du Sud au Vanuatu, en passant par la Russie et l’Ukraine, la quasi-totalité des pays ayant participé au conflit sur le sol européen ont répondu à l’invitation française. Parmi les délégations étrangères, le passage d’un détachement de l’armée algérienne – dont la présence avait suscité un début de polémique – s’est déroulé sans incident.
François Hollande a été hué par quelques manifestants lors de sa revue des troupes, en descendant les Champs-Elysées. Mais après la cérémonie, le chef de l’Etat a serré de nombreuses mains lors d’un bain de foule.
DIRECT. Suivez le défilé du 14-Juillet à Paris
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Plus de 3 700 hommes à pied, 240 chevaux, 285 véhicules, 53 avions et 36 hélicoptères défilent, lundi 14 juillet, sur les Champs-Elysées. L’édition 2014 est particulière pour l’armée française, qui célèbre à la fois le centenaire de la Grande Guerre, les 70 ans du Débarquement et les 80 ans de l’armée de l’air. Sont également mis à l’honneur les régiments qui ont participé à l’opération Sangaris enCentrafrique, ainsi que des soldats de retour d’Afghanistan.
France Télévisions propose un dispositif exceptionnel, pour suivre au plus près l’événement. En haut de cette page, vous pouvez devenir le réalisateur de votre propre défilé, en choisissant la caméra à travers laquelle vous assistez à la parade. Six angles de vue sont disponibles : depuis la tribune officielle, depuis le centre de commandement, ou encore depuis un hélicoptère participant au défilé aérien.
Ce dispositif est accompagné d’un direct consacré à l’événement, dans la colonne de droite. Vous y trouvez toutes les informations sur le défilé, avec des messages actualisés minute par minute, des textes, des photos et des vidéos. Vous pouvez surtout y proposer vos commentaires et poser vos questions à la rédaction de francetv info.
France 2 vous propose une émission spéciale, qui a débuté dès 8h10, avec de nombreuses surprises spectaculaires, à suivre ci-dessus avec la caméra intégrale. Autour de Marie Drucker et de Pierre Servent, de nombreux animateurs et journalistes de la chaîne vous font vivre le défilé comme vous ne l’avez jamais vu.
C’est un 14 juillet un peu spécial, qui se tient ce lundi, sous le signe de la Première guerre mondiale. Revivez en images les cérémonies, ponctuées par la participation de 78 nations, marquant le coup d’envoi des célébrations du centenaire de la Grande guerre.
Le 14/07/2014 à 9:44
Mis à jour le 14/07/2014 à 12:49
C’est un défilé placé sous le signe des commémorations de la Grande guerre qui s’est tenu ce 14 juillet 2014. Pour cela, 78 nations avaient été invitées à défiler sur les Champs-Elysées, alliés et ennemis d’hier confondus. « Ce 14 juillet n’est pas un 14 juillet comme les autres », a souligné dimanche François Hollande dans son discours aux armées, rappelant qu’il y a cent ans « des soldats du monde entier » étaient venus « pour nous sauver ».
En revanche, contrairement aux commémorations du 6 juin dernier, aucun chef d’Etat étranger ne doit être présent.
Plus de 3.700 hommes à pied, 240 chevaux, 285 véhicules, 54 avions et 36 hélicoptères ont défilé sur les Champs Elysées.
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12h20 – Une fois de retour à l’Elysée, le chef de l’Etat se prépare à la traditionnelle interview du 14 juillet, qui doit se tenir à 13h30.
12h09 – François Hollande va au contact du public présent à cette cérémonie du 14 juillet. Un très important dispositif de sécurité a été déployé autour de ce défilé et pour y assister, il fallait avoir montré le contenu de son sac et laissé les bouteilles de côté, comme le rappelle notre envoyée spéciale Caroline Myer.
12h00 – Le président s’offre un « bain de foule militaire », allant à la rencontre de jeunes officiers, mais aussi de soldats blessés sur des théâtres d’opérations à l’étranger. François Hollande salue longuement ces militaires et leurs familles, serre des mains, glisse quelques mots. Il est avec Jean-Yves Le Drian, minitre de l’Intérieur et Kader Arif, ministre délégué aux Anciens combattants.
11h52 – L’animation de clôture se déroule place de la Concorde, imaginée par le metteur en scène et chorégraphe José Montalvo, sur le concerto pour clarinette de Mozart, avec des jeunes gens représentant les 78 délégations étrangères, vêtus de noir et de blanc. Le spectacle s’achève par un lâcher de colombes et marque la fin de la cérémonie.
11h35 – Après l’infanterie, c’est le défilé motorisé qui investit les Champs Elysées.Le défilé doit ensuite s’achever avec le passage des sapeurs-pompiers de Paris et des cavaliers de la Garde républicaine.
11h30 – « On ne peut plus faire mieux avec moins, compte tenu de toutes les réformes que nous venons de vivre ces vingt dernières années. Comme d’habitude, nous ferons ‘au mieux’, à 120% de nos possibilités, avec notre coeur, notre sens du service, notre dévouement pour le succès des armes de la France », déclare Le chef d’état-major des armées, le général Pierre de Villiers dans un entretien lundi au Figaro.
11h20 – Les pompiers défilent sur les Champs Elysées, très applaudis. Suivis des soldats de la Légion étrangère, portant hache, tablier de cuir et longue barbe.
11h00 – Place au défilé militaire. 1er régiment d’infanterie, 1er régiment des Spahis, 3e régiment d’artillerie de Marine, 3e régiment des hélicoptères de combat, 123e bataillon cynophile…
10h45 – Défilé des écoles militaires. L’école Polytechnique suivie de Saint Cyr et l’école des officiers de la gendarmerie nationale ouvrent le bal.
10h39 – Le module « dissuasion nucléaire » de l’armée de l’air passe au dessus des Champs Elysées. Cela doit être également le dernier vol du Mirage F1, qui a déjà 40 ans.
Cinquante quatre appareils doivent défiler ce lundi.
10h33 – Des chants retentissent, dont la célèbre Madelon et le Chant du Départ, mais aussi la Marseillaise.
10h30 – Les drapeaux de toutes les nations ayant participé à la Première guerre mondiale défilent sur les Champs Elysées. « Il y a là un esprit de réconciliation évident », souligne Harold Hyman, spécialiste géopolitique pour BFMTV.
Le Front national a jugé « honteuse » la présence de soldats algériens lundi. Le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, estime, lui, « normal » que trois soldats algériens soient présents, tout comme près de 80 autres nations impliquées dans la Première guerre mondiale, dans un entretien au Monde daté de dimanche-lundi.
10h25 – Des soldats habillés en Poilus défilent face à la tribune présidentielle. Ils portent l’uniforme de 1916 et non celui de 1914.
10h05 – François Hollande passe en revue les troupes à bord d’un véhicule militaire, au milieu des applaudissements et de quelques sifflets. Le président rejoint la place de la Concorde.
9h40 – « Je lance un avertissement: le droit de manifester est un droit consitutionnel, mais exporter le conflit du Proche Orient ici, s’en prendre à la communauté juive ou à toute communauté est intolérable » a indiqué sur BFMTV Manuel Valls, dont c’est le premier 14 juillet en tant que Premier ministre. « Je comprends l’émotion de ceux qui manifestent, par rapport à ce qu’il se passe au Proche-Orient, mais les débordements, les violences, la volonté de s’attaquer à des synagogues est intolérables », a-t-il assuré, évoquant la manifestation pro-palestinienne dimanche.
9h30 – « Oui l’opération Serval est achevée », explique Jean-Yves Le Drian au micro d’Apolline de Malherbe sur BFMTV. « Elle a eu les résultats qu’elle recherchait. L’opération Barkhane est une régionalisation du contre-terrorisme, à partir d’une unité française de 3.000 hommes, qui sont là pour la durée et pas uniquement au Mali. A la fois au Tchad, au Niger, au Burkina Faso. Ils ont pour objectif d’éviter que les groupes terroristes ne se réimplantent ».
9h15 – Les drapeaux de 78 nations vont défiler sur les Champs Elysées, ce lundi. On verra ainsi le drapeau allemand, évoque Ulysse Gosset sur BFMTV, qui rappelle que c’est le cas depuis 20 ans déjà. Plus inédit en revanche, le drapeau japonais, ou encore le drapeau algérien.
Il s’agit pour l’Elysée de célébrer le sacrifice de millions de soldats mais aussi de montrer la volonté de la France de combattre pour la paix.
Défilé militaire sur l’Avenue des Champs-Elysées
Le défilé du 14 juillet sur les Champs-Elysées est le point fort des cérémonies de la fête nationale. Le défilé met chaque année en avant des régiments de militaires français qui paradent le matin.
Le défilé militaire 2014 rend hommage à la commémoration du Centenaire de la Grande Guerre. A ce titre, tous les pays belligérants sont invités à participer au défilé.
- 9h10 : fin de la mise en place des troupes à pied et motorisées sur le site Étoile / Champs-Élysées
- 9h20 : inspection des troupes par les officiers généraux commandant les défilés à pied et motorisé.
- 9h45 : mise en place des détachements d’honneur de la Garde républicaine, place de l’Étoile et place de la Concorde.
- 10h : arrivée du Président de la République avenue de Friedland. Accueil par le général d’armée Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, et le général de corps d’armée Hervé Charpentier, gouverneur militaire de Paris. Revue des troupes.
- 10h15 : honneurs rendus au Président de la République, place de la Concorde par le 1er régiment d’infanterie de la Garde républicaine. Accueil par le Premier ministre, M. Manuel Valls, le ministre de la Défense, M. Jean-Yves Le Drian, le secrétaire d’État aux Anciens combattants et à la mémoire, M. Kader Arif et le chef d’état-major particulier du Président de la République, le général d’armée Benoît Puga.
- 10h20 : Animation d’ouverture
- 10h35 : défilé aérien d’ouverture commandé par le général de corps aérien Thierry Caspar-Fille-Lambie, commandant de la défense aérienne et des opérations aériennes.
- 10h45 : défilé des troupes à pied commandé par le général de brigade Henry Bazin, général adjoint engagements auprès du gouverneur militaire de Paris.
- 11h20 : début du défilé voilures tournantes
- 11h25 : défilé des troupes motorisées commandé par le général de division Marcel Druart, commandant l’état-major de force n° 1 de Besançon, puis défilé des troupes montées.
- 11h45 : animation de clôture
- 12h : départ du Président de la République.
Le défilé du Centenaire de la Première Guerre mondiale, en présence de représentants de près de 70 nations, s’est achevé par un lâcher de colombes lundi midi sur les Champs-Elysées, avant l’interview du 14 juillet du président Hollande, à 13H15 en direct de l’Elysée.
Fête nationale du 14 Juillet : une nuit avec la garde républicaine
VIDÉO. Chaque année, les 241 hommes du régiment de cavalerie de la gendarmerie nationale répètent, de nuit, le défilé du 14 Juillet. « Le Point » les a suivis.
À la une du Point.frAu coeur de Paris endormi et sous la pluie, une certaine effervescence agite le quartier des Célestins, siège de l’état-major de la garde républicaine, à la Bastille. Une ébullition organisée et qui répond à un timing bien précis, certes – nous sommes dans l’armée -, mais du genre de celle qui précède les grands événements. Nous sommes le 10 juillet, il est 2 heures du matin et quelque 150 gendarmes de la garde montée se préparent à rallier les Champs-Élysées pour la répétition nocturne de la fête nationale. À quelques encablures de là, au quartier Carnot (Vincennes), moins d’une centaine de leurs homologues sont en chemin pour les rejoindre place de la Bastille.
2 h 30. À moins d’une heure du départ, dans les écuries, les hommes préparent leurs chevaux – selle d’apparat et sabots graissés. Le colonel vétérinaire fait le tour de ceux qui en ont besoin. Il accompagnera les troupes tout au long de la nuit, tout comme l’un des maréchaux-ferrants. L’enjeu n’est pas complètement anodin – faire parcourir six kilomètres sur chaussée mouillée à 241 chevaux seulement encadrés de quatre motards et deux véhicules légers en plein coeur d’un Paris, dont la circulation n’a évidemment pas été fermée -, mais l’ambiance est détendue et le maréchal des logis-chef Valéry Pontault, dont ce sera le 15e défilé, reconnaît volontiers que cette répétition a des airs festifs. « Elle marque aussi la fin de l’année scolaire, après nous partons en vacances ou en poste sur le littoral. »
L’objectif de ce branle-bas de combat ? Huiler à la seconde près la mécanique pour le 14, jour où « nous rendrons les hommages au président et à la population française ». Ce jour sera, aussi, l’occasion de mettre en lumière un régiment peu connu du grand public ni même des Parisiens, alors que quarante cavaliers patrouillent chaque jour dans la capitale et que son état-major est au coeur de la ville – longez la rue de Sully, l’odeur ne trompe pas.
« Vl’a la cavalerie »
3 h 15. Après une brève inspection des troupes, les hommes s’élancent boulevard Henri-IV, selon une hiérarchie très précise qui répond à des critères de grade, de traditions, mais aussi plus prosaïquement de tailles et d’affinités entre les chevaux. Sur les trottoirs, des riverains attendent. Parmi eux, des fans, pour la plupart habitués – « chaque année, on nous appelle pour connaître la date de répétition », confie un adjudant -, mais également des membres de la famille des gendarmes, pour beaucoup des adolescents qui, tout le long, accompagneront la future escorte présidentielle à vélo.
Une fois le signal donné, ils sont 241 à se mettre en branle sur le boulevard Beaumarchais. 241 chevaux dont la taille en impose (1,70 m au garrot, pour une moyenne de 600 kilos) et 241 hommes en tenue d’apparat sous la vareuse, casque – 2 kilos, 89 pièces et une crinière – et sabre. Vision anachronique et plutôt impressionnante pour qui croise leur chemin et dont les réactions à cette heure tardive et imbibée seront peu ou prou les mêmes : « Vl’a la cavalerie. » Et les fêtards de porter la (mauvaise) main à leur tempe en lançant un « Vive la France« , avant d’entonner (faux) la Marseillaise. Plutôt bon enfant, sans doute parce que le cheval provoque à la fois crainte et attraction, mais la vigilance est de mise. Entraînés au danger, les chevaux ont l’habitude des mouvements de foule, tous assurant d’ailleurs la sécurité aux alentours du Stade de France et du Parc des princes les soirs de match ou d’événements publics. Boulevard Poissonnière pourtant, quelques chevaux, plus nerveux que d’autres, hennissent, sortent du cortège…
Complicité
4 h 30, avenue Friedland. Un des hommes – crinière rouge signifiant son appartenance à la fanfare – sonne la trompette de cavalerie pour donner l’ordre de poser pied à terre. Les familles viennent voir « leur » garde et font circuler le café, les hommes flattent leur cheval avec qui la complicité est évidente.
5 h 30. On entre dans le coeur de la répétition. Hommes et chevaux s’engagent place de l’Étoile au trot et au rythme de la trompette de cavalerie. Sur les Champs, et sous le regard des premiers Parisiens à aller travailler ou des derniers fêtards à encore traîner, la garde descend l’avenue qui, ce matin-là, leur appartient. Ils passent successivement devant la Légion étrangère, les représentants des armées des 68 pays invités et… des poilus (faux, est-il besoin de le préciser ), centenaire de la Grande Guerre oblige. Pendant une heure encore ils vont répéter, la garde se scindant en deux puisque seuls 157 hommes escorteront effectivement le président.
7 h 50, petit matin blême, les hommes ont regagné la caserne. Le 14 juillet, ils remettent ça. « Pour de vrai » cette fois.
Les élèves gendarmes de Montluçon se préparent pour défiler sur les Champs-Elysées
L’école de sous-officiers de gendarmerie de Montluçon défilera sur les Champ-Elysées le 14 juillet. Un grand honneur pour ces militaires qui se sont préparés durement pour être impeccables le jour J.
- Par Laurent Pastural
- Publié le 11/07/2014 | 17:37, mis à jour le 11/07/2014 | 17:37
Il est à peine 7h dans la cour de la caserne Richemont et comme tous les matins pendant deux semaines 84 sous-officiers sélectionnés parmi les 1200 élèves gendarmes de l’école de Montluçon se préparent pour défiler sur les Champs-Elysées. Pour tous c’est un immense honneur. Et notamment pour le capitaine Rabeyrin. Engagé dans l’armée de terre à 16 ans, cet officier instructeur quittera la gendarmerie à l’issue du défilé après 42 ans de service.
Pour tous ces gendarmes la cérémonie du 14 juillet c’est un peu le symbole de leur appartenance à l’armée française.
Les valeurs militaires ce sont les valeurs de disponibilité, de sacrifice, de don de soi individuel ou collectif, c’est l’engagement au service de mission. Ce sont des valeurs tout à fait militaire que nous partageons avec nos camarades de l’armée de terre, de l’armée de l’air et de la marine souligne le colonel Gilles Sorba, commandant de l’école de gendarmerie de Montluçon.
Le défilé c’est aussi l’occasion de renforcer le lien armée nation. Chaque année le défilé du 14 juillet fédère six millions de téléspectateurs.
Les élèves gendarmes se préparent pour le 14 juillet
14 juillet, la gendarmerie présente aux Invalides
Lundi 14 juillet 2014, dans le cadre de l’opération « Les Franciliens accueillent leurs soldats », la gendarmerie animera un stand sur l’esplanade des Invalides de 14h à 19h aux côtés des autres armées présentes lors du défilé. Venez nombreux !
Cette année, les gendarmeries spécialisées sont à l’honneur. Participant au défilé, elles seront représentées par des personnels de chaque entité.
Des gendarmes du Groupement blindé de la gendarmerie nationale (GBGM) seront également présents.
Sur le stand de la gendarmerie, les visiteurs pourront voir :
un hélicoptère EC 135, un véhicule Toyota Surf (Véhicule Blindé Civil) utilisé par le Groupement blindé de la gendarmerie nationale, une embarcation Sillinger avec son véhicule tracteur (4×4 Navara) utilisée par la gendarmerie maritime, une motocyclette de marque BMW type 1200 RT de la garde républicaine ainsi que deux Yamaha type 1300 FJR du Centre national de formation à la sécurité routière (CNFSR), ainsi qu’un car-podium du centre d’information et de recrutement de la gendarmerie de Paris.
Des gendarmes mobiles, des élèves-officiers et élèves-gendarmes ainsi que d’autres militaires de la gendarmerie seront présents pour accueillir le public et répondre à ses demandes, mais aussi témoigner de leur engagement et présenter leurs métiers.
Infos pratiques
Esplanade des Invalides PARIS VIIe de 14 à 18h.
M° Invalides (lignes 8 et 13) – École Militaire (ligne 8) – Champs-Elysées-Clemenceau (ligne 1).
RER C arrêt Invalides.
Photo d’illustration – Gendarmerie
Publiée le 11 juillet 2014
Credits photo : SIRPA Gendarmerie
Contact : SIRPA Gendarmerie
Source : www.gendarmerie.interieur.gouv.fr