Depuis que je bénéficie de congés payés, reviennent l’été les mêmes embouteillages. Mais les conducteurs ont bien changé. Que d’infractions commises: clignotants en option, priorités refusées, lignes blanches continues ignorées, envois de textos, sans oublier ceux qui boivent au volant, ceux qui prennent des anxiolytiques, des somnifères, voire des narcoleptiques… Avec tout cela, ajoutons les excès de vitesse sur les rares portions fluides!
Si la mortalité routière s’amplifie, les causes s’avèrent multiples et les dizaines de radars rencontrés n’y font rien. Tous les freins sont au rouge devant ces mouchards et ça repart de plus belle!
On se souvient dans les années passées, même dépassées, de la présence des gendarmes à chaque carrefour et points stratégiques, assistés, parfois même, de redoutables motards. La peur des képis bleus jouait son rôle de catalyseur. Rien que la vue de la fameuse estafette ramenait à la raison bon nombre d’imprudents. Mais aujourd’hui, plus de forces répréhensibles pour réguler une circulation difficile. Dans mon modeste périple de 600 km, je n’en ai vu aucun. Sans doute, étaient-ils réquisitionnés pour d’autres contrôles plus pernicieux suscités par les événements que l’on sait… Quelle avait du bon cette « taca taca tactique du gendarme » chère à Bourvil!
Renaud, l’anar, affirme « avoir embrassé un flic ». Beau revirement de comportement. Moi, lors de mon voyage, faute de représentants de la loi, cela me fut impossible. Mais je plagierais volontiers la chanson de Christophe: « Et j’ai crié, crié, Police, oh! qu’elle revienne! ».
François Monnier
de Blois
La France est en souffrance. Alors j’aimerais que les députés se conduisent avec plus de sérieux, sans transformer l’Assemblée nationale en théâtre. Qu’ils se rappellent également que par temps difficiles l’union fait la force. Aussi, qu’ils laissent de côté leurs ambitions personnelles. Ils ont l’avenir de notre pays entre leurs mains.
M. Berthon
de Chauvigny (Vienne)