Loire
Deux familles voisines en viennent aux mains pendant le réveillon à Saint-Just-Saint-Rambert
Hier à 16:20 | mis à jour à 17:18
Tapage, incivilités, volonté suicidaire, mais aussi sécurisation des églises, près de 200 gendarmes ont été sur le pont dans le sud du département, durant la veillée de Noël.
À minuit, le soir du réveillon de Noël, certains se donnent les cadeaux, d’autres, en revanche commencent à s’échauffer. Dans la nuit du 24 au 25 décembre, les gendarmes ont dû intervenir pour séparer deux familles qui habitent côte à côte dans le centre-ville de Saint-Just-Saint-Rambert.
Trois individus qui menacent de se suicider
Une affaire de tapage nocturne peu après minuit qui a dégénéré – l’une des familles trouvant que la voisine faisait trop de bruit – sur fond de consommation excessive d’alcool. On déplore quelques griffures et ecchymoses, mais aucune blessure plus sérieuse.
Plus triste, et comme c’est fréquent durant la période des fêtes qui réveille des blessures pour certains, les gendarmes sont également venus en aide à trois individus qui menaçaient de se suicider durant la nuit du réveillon.
77 offices religieux à sécuriser
Autre mission traditionnelle du réveillon, la sécurisation des églises pendant les messes de la nativité qui ont été multipliées pour satisfaire aux restrictions imposées par la pandémie de Covid-19. Plus de 200 gendarmes ont été mobilisés, à partir de 17 heures, durant les 77 offices donnés sur le territoire du diocèse de Saint-Etienne (en zone gendarmerie). En tout, sur le territoire du diocèse, il y a eu près d’un tiers de messes en plus à Noël.