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Le - Collision dans le brouillard à Beaune-sur-Arzon: le véhicule des gendarmes se renverse

Collision dans le brouillard à Beaune-sur-Arzon: le véhicule des gendarmes se renverse

Une violente collision s’est produite, vendredi soir, sur la RD1 à « la Tuilerie », entre Chomelix et Craponne-sur-Arzon.

  • Le 17/02/2018 à 05:00
  • mis à jour à 13:39

Un jeune militaire a été blessé au poignet dans le choc. / Photo Jean-Claude Faure

Un jeune militaire a été blessé au poignet dans le choc. / Photo Jean-Claude Faure 

Deux blessés léger mais de gros dégâts matériels. C’est le bilan du spectaculaire accident de la circulation qui est survenu, vendredi, en début de soirée, sur la RD1 entre Chomelix et Craponne-sur-Arzon.

Il est environ 21 heures lorsque les faits se produisent. Au lieu-dit « la Tuilerie » (commune de Beaune-sur-Arzon), un véhicule des gendarmes de la communauté de brigades de Craponne-sur-Arzon sort d’une propriété où les militaires viennent de constater un cambriolage. Le véhicule recule sur la départementale. À ce moment-là, le lieu est baigné par un épais brouillard. Par un fâcheux concours de circonstances, le conducteur fait une fausse manœuvre et cale alors qu’il se trouve en travers de la chaussée. Circulant en direction de Craponne-sur-Arzon à bord d’une Ford « Focus », une automobiliste d’une vingtaine d’années arrive au même moment.

Deux blessés léger

La collision est inévitable. Elle est violente, au point de propulser le véhicule de gendarmerie à plusieurs mètres du point d’impact. Il s’immobilise sur le flanc. À bord, un jeune gendarme sera légèrement blessé au poignet. Son état de santé nécessite un transport au centre hospitalier Émile-Roux. Dans la « Focus », la conductrice s’en sort avec seulement des douleurs au genou : elle a été conduite dans un cabinet médical de Craponne-sur-Arzon.

Sur les lieux de l’accident, d’importants moyens de secours ont été déployés. Les gendarmes ont également envoyé plusieurs unités pour procéder aux constatations

Jean-Claude Faure et Rémi Barbe

Sourcewww.leprogres.fr

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