CÔTE-D’OR – DÉFENSE
Mise en place des équipes du PSIG (Peloton de sécurité et d’intervention de la gendarmerie). Photo Jérôme Delaby
Mise en place des équipes du PSIG (Peloton de sécurité et d’intervention de la gendarmerie). Photo Jérôme Delaby
Mise en place des équipes du PSIG (Peloton de sécurité et d’intervention de la gendarmerie). Photo Jérôme Delaby
Reconnaissance des lieux où s’est retranché un forcené (fictif). Photo Jérôme Delaby
Reconnaissance des lieux où s’est retranché un forcené (fictif). Photo Jérôme Delaby
les négociateurs s’informent de la cartographie du terrain. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
les négociateurs s’informent de la cartographie du terrain. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
Prmiers contacts avec le suspect. Photo Jérôme Delaby
Prmiers contacts avec le suspect. Photo Jérôme Delaby
Exercice de négociation de crise de la gendarmerie. Photo Jérôme Delaby
Le suspect est retranché dans une maison isolée près de Châtillon-sur-Seine Photo Jérôme Delaby
Le peloton se met en place. Photo Jérôme Delaby
Le peloton se met en place. Photo Jérôme Delaby
Le forcené fictif retranchée est joué par une négociatrice. Photo Jérôme Delaby
Le PSIG prêt à intervenir. Photo Jérôme Delaby
Le PSIG prêt à intervenir. Photo Jérôme Delaby
Le PSIG prêt à intervenir. Photo Jérôme Delaby
L’arme (fictive) du forcené. L’intervention ne se fait qu’après être certain que celui-ci est désarmé. Photo Jérôme Delaby
Le suspect est appréhendé…Photo Jérôme Delaby
…mis au sol…Photo Jérôme Delaby
et menoté. Photo Jérôme Delaby
Vendredi matin, le centre de gendarmerie de Châtillon-sur-Seine a vécu un entrainement des plus réels en compagnie des escadrons de Montbard et du Peloton de sécurité et d’intervention de la gendarmerie, en compagnie de négociateurs de crise du département. Une simulation qui n’a lieu que trois à quatre fois par an, supervisé par le commandant Gossement, chef d’escadrons de Montbard. Un scénario fictif a été mis en scène dans les moindres détails pour coller le plus possible à la réalité de ce types d’interventions.
Source : www.bienpublic.com