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Le - Insolite. Le meilleur des appels reçus par la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques durant le confinement

Insolite. Le meilleur des appels reçus par la gendarmerie des Pyrénées-Atlantiques durant le confinement

Le Centre Opérationnel Renseignement Gendarmerie du groupement des Pyrénées-Atlantiques a reçu de nombreux appels très particuliers depuis le début du confinement.

Publié le 17 Avr 20 à 11:10

La Ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle) met en place une cellule psychologique pour les personnes en détresse ou seules.
La Ville de Nancy (Meurthe-et-Moselle) met en place une cellule psychologique pour les personnes en détresse ou seules. (©Illustration/Adobe Stock)

Les gendarmes du Centre Opérationnel Renseignement du groupement des Pyrénées-Atlantiques reçoit en moyenne près de 300 appels par jour depuis le début de la crise sanitaire du coronavirus. Voici quelques appels pour le moins… Originaux !

Tous ces appels ont un seul but : Puis-je me déplacer si … ?

Étudiant en vacances depuis 3 semaines

Après quelques semaines de confinement, un jeune homme décide de « reprendre le travail » et appelle donc la gendarmerie :

« Je suis étudiant et je voudrais aller dans mon appartement à Pau pour travailler »,

L’opérateur lui répond : « Aujourd’hui, le jour de pâques ? ».

L’étudiant : « Oui, je n’ai pas d’ordinateur là où je réside… ».

L’opérateur : « Et depuis plus de trois semaines vous ne travaillez-pas ?… »

Un animal exigeant

Autre appel, un peu plus farfelu, mais cette fois-ci pour nourrir son animal de compagnie. Un habitant d’Oloron-Sainte-Marie téléphone aux gendarmes pour une demande bien spécifique :

« J’habite à Oloron, est-ce que je peux aller acheter les croquettes de mon chien à Soumoulou ? ».

L’opérateur : « C’est à plus de 45 km ça… Pourquoi, il n’y a pas de croquettes à Oloron ? »,

Le propriétaire de l’animal : « Si, mais mon chien ne les supporterait pas et je devrais aller chez le véto… »

Un client fidèle

Le confinement ne doit rien changer pour certains qui décident de ne rien modifier de leurs habitudes, comme pour cet homme qui téléphone aux gendarmes :

« Puis-je aller aux halles de Pau acheter mes entrecôtes ? »

L’opérateur : « Pourquoi, il n’y en a pas à Monein ? »

Le client fidèle : « Non, et puis elles ne sont pas bonnes… et j’ai l’habitude d’aller à Pau le samedi vous comprenez… ».

Pour toute demande d’informations relatives aux mesures de confinement :

Le n°17 est à réserver aux situations d’urgence.

Par : Rédaction Pays Basque|

Source : actu.fr

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