La belle histoire du jour : le touchant plaidoyer d’une fillette de 5 ans pour que la police enrôle… des chats
–CRÉÉ : 03-04-2016 17:08
GRANDE-BRETAGNE – Eliza Adamson-Hopper, âgée de 5 ans, a écrit une lettre au responsable de la police de Durham pour lui demander d’inclure des chats dans ses effectifs. Il lui a répondu, dessin à l’appui.
Bientôt des chats policiers ? C’est en tout cas la demande d’une jeune Britannique âgée de 5 ans, Eliza Adamson Hopper. Elle a écrit une lettre au responsable de la police locale de Durham (nord-est de l’Angleterre), Michael Barton, pour lui demander d’intégrer des chats dans ses effectifs, au même titre qu’il existe des chiens policiers.
Bientôt des chats policiers ? C’est en tout cas la demande d’une jeune Britannique âgée de 5 ans, Eliza Adamson Hopper. Elle a écrit une lettre au responsable de la police locale de Durham (nord-est de l’Angleterre), Michael Barton, pour lui demander d’intégrer des chats dans ses effectifs, au même titre qu’il existe des chiens policiers.
« Il serait bien d’avoir des chats dans les rangs de la police car ils ont de bonnes oreilles et sont attentifs au danger (…) Les chats savent bien grimper aux arbres et peuvent aider à secourir les gens », argumente la petite fille. « Mon chien est ami avec mon chat et je pense que les chats de la police seraient amis avec les chiens de la police », précise-t-elle même dans son courrier.
Une idée prise au sérieux
Surprise, Michael Barton lui a répondu, rapporte The Northern Echo, qui dévoile l’histoire. « Merci pour ta lettre suggérant à la police d’utiliser des chats comme les chiens policiers ». J’ai toujours aimé les chats et j’ai dessiné le mien, Joey, au verso de la lettre », est-il écrit dans ce courrier.
La police semble avoir pris au sérieux la proposition d’Eliza. Selon l’inspecteur Richie Allen, responsable de la brigade canine de Durham qui a également répondu par courrier à la jeune fille de 5 ans – il l’a invité à venir voir les chiens policiers -, cette idée serait même désormais à l’étude. Un porte-parole de la police a assuré au très sérieux quotidien The Guardian que ce n’était pas un poisson d’avril.
